Suspension
des départs pour le Sri Lanka, juqu’au 4 février
2007 inclus
Les départs des voyageurs vers le Sri
Lanka ont été suspendus le 19 octobre 2006, suivant
les recommandations du Quai d'Orsay, à cause de la vague
d'attentats qui a frappé l'île. La situation
ne semblant pas s'améliorer, il est conseillé
un report sans frais à une date ultérieure, sur
la même destination, pour les gens qui avaient retenu
un voyage, (report valable pour une période maximum de
12 mois) ou le changement de destination.
Après consultation des principaux opérateurs programmant
la destination, le SNAV a décidé de maintenir
la suspension de tous les départs vers le Sri Lanka jusqu’au
4 février 2007 inclus.
Le Quai d'Orsay a publié ce texte (le 22 novembre 2006)
sur Diplomatie.gouv
:
"Dernière minute
:
En raison de la recrudescence des violences et des attentats
suicides (quatre attentats ces derniers mois dans la capitale,
un dans le port de Galle au Sud du pays, et l’attentat
du 16 octobre qui a fait plus de 100 morts dans le "Triangle
culturel" près de Sigiriya), il est conseillé
de reconsidérer pour l’instant tout projet de déplacement
non essentiel à Sri Lanka. En tout état de cause,
en raison des actes de guerre qui se perpétuent dans
le Nord et l’Est du pays, il est demandé à
tous les ressortissants français de ne plus se rendre
dans les régions situées au Nord de la ligne Puttalam-Trincomalee
(incluant Anuradhapura) ainsi que dans les districts de Trincomalee,
Batticaloa et la bande côtière au nord de la ville
de Pottuvil (district d’Ampara), et de les quitter s’ils
y sont actuellement présents.
Sécurité :
Les voyages sont formellement déconseillés dans
plusieurs régions de ce pays : provinces de Jaffna, Trincomalée,
Baticaloa et Ampara, et ce bien que les actions terroristes
perpétrées par le passé n’aient jamais
délibérément visé les étrangers.
L’attention des touristes est également attirée
sur les risques que comporte tout déplacement sur la
route principale vers l’est au-delà de Polonnaruwa
et sur le grave danger que représente l’utilisation
des voies et chemins secondaires dans cette zone, en raison
tant des confrontations armées entre factions rivales
du LTTE que de l’existence de mines. D’une manière
générale, il est toujours recommandé aux
voyageurs, où qu’ils se trouvent, de se tenir systématiquement
à l’écart de tous les rassemblements et
d’éviter les mouvements de foule. " |